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répond à JesWeb
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Casus Belli est mort, vive Casus Belli ! Alors que sort aujourd'hui la nouvelle mouture de Casus Belli, nous avons posé trois questions à son fondateur-rédacteur en chef, Didier Guiserix.
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JesWeb - Bonjour Didier Guiserix. Malgré la disparition de Casus Belli
version Excelsior , est-ce que ce n'est pas bénéfique de repartir de zéro ?
Nouveaux concepts, nouvelle équipe, nouvelle fraicheur ? Didier Guiserix - Si, tout à fait. Casus Belli s'est régulièrement remis en cause, mais il fallait une vraie rupture pour se libérer des rails tracés par une longue histoire, et aborder l'univers du jeu avec un oeil neuf, des concepts différents. Lorsque j'ai su que je pouvais récupérer le titre, la première personne que j'ai contatée pour remonter le journal a été Fred Weil, qui était venu souvent à la rédaction pour discuter philosophie de la presse jeu. Et dans le projet que je lui ai soumis se trouvait déjà une partie de ce qui fait le nouveau Casus.
JesWeb - Le nouveau Casus est tiré à combien
d'exemplaires ? DGx - Trente mille et des poussières (32 000 je crois: on a changé d'un imprimeur qui travaillait en "feuille à feuille" pour un qui bosse en roto, et comme ça c'est décidé pendant le bouclage, je n'ai pas redemandé si notre chef de fab en a profité pour changer le tirage...)
JesWeb - En quelques mots, qu'est-ce qui a changé
dans ce nouveau Casus ? DGx - Ben... tout! Il y a encore des scénarios, des news et des critiques, mais tout à changé: le ton, la façon d'attaquer les sujets (plus "sentis" et moins "catalogue"), le look (à voir sur pièce), l'ouverture aux gens et aux oeuvres succeptibles de booster l'inspiration des MJ, la place laissée aux divers apports du Net (aides de jeu, accès facilité à des délires imaginaires, jeu en ligne). Ah, Monghol & Ghota sont restés...
Merci et bonne chance dans cette nouvelle aventure !
Voir aussi:
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